Alors je me suis décidée à remettre la robe Aubépine qui n'arrive pas à me plaire.

Voilà ce que ça donne portée.

Comme vous le constatez, elle n'est pas tout à fait finie : il manque l'élastique de la manche droite ainsi que l'ourlet.

Mon problème, je le confirme est qu'il y a trop de tissu, de la taille jusqu'en bas, en largeur biensûr. Le corsage va super bien.

Je pense d'abord refaire une couture en partant de la taille jusqu'en bas, en prenant environ 10cm de chaque côté.

Ensuite, je réessayerai la robe et je couperai le surplus si je trouve cela satisfaisant.

Et si vraiment ça ne va toujours pas, alors transformation en tunique

Je viens de réaliser la superbe robe Aubépine de DEAR and DOE.

Oui, je trouve qu'elle est superbe : plis religieuses au corsage et aux manches, coulisse et petit lien taille empire.

J'adore le tissu, un coton acheté au marché aux tissus.

Seul problème: je ne m'aime pas, mais alors pas du tout dans cette robe qui a selon moi, trop de tissu au niveau de la jupe...

Trois solutions s'offrent à moi :

- Retailler la jupe en coupant les parties latérales de la jupe...est-ce que ça va encore ressembler à quelque chose?

- Raccourcir la jupe pour transformer la robe en tunique.

- Donner (avec plaisir) cette robe à quelqu'un qui en serait fan (taille 46).

Cette question n'est sans doute pas existentielle mais je remercie tous ceux qui me donneront leur avis.

Je viens de finir et de porter dès aujourd'hui, par ce beau jour de printemps, ce chemisier-gilet qui m'a donné beaucoup de mal et demandé un certain nombres d'heures de travail et une grande concentration. Les tissus, des cotons imprimés, viennent de chez Mondial Tissu. Le modèle: n° 133 du Burda de juin 2009. (Oui ça date, mais les coupes ne changent pas tant que ça, non? )

Premier problème: les encolures cache-coeur, ça baille souvent. Après un premier essayage, j'ai du re-démonter le biais de l'encolure et reprendre les épaules pour qu'il y ait moins de tissu devant.

La fabrication des multiples liens m'a demandé un temps certain.

La réalisation des poches a aussi été un petit défi  (boutonnières, coulisses)... simple mais minutieux.

Et encore des coulisses et des élastiques dans les manches.

Je me suis vraiment appliquée pour mettre tous les détails comme prévu. C'est vrai que souvent je vais à l'essentiel en oubliant les petits plus mais là, je suis ravie de les avoir faits.

Un jersey très fin, commandé chez "Fleur de Tissu", pas très élastique... pas forcément engageant à travailler.

Au final, un haut agréable à porter.

Son originalité réside dans le col bénitier mais aussi dans les manches très longues et élastiquées tout comme le bas, élastiqué d'un côté seulement.

(Modèle 112, Burda sept. 2009)

L'histoire a bien failli mal se terminer pour ce beau lainage aux motifs ethniques...

D'abord taillé en duffle-coat au mois de décembre, il y avait un problème aux épaules: trop de tissu. J'ai essayer de raboter, de défaire, de refaire...mais ça n'allait toujours pas... Il a donc été mis de côté en attendant des jours meillleurs...

Et voilà, finalement, j'ai trouvé une solution: une petite veste légère, idéale en cette fin d'hiver.

Le modèle est insipré du n°127 du Burda de février 2009, avec des manches rallongées et des poches plaquées.

 Comme je déteste toujours faire les boutonnières, j'ai choisi cette fois d'appliquer des "brandebourg" rouges comme une partie de la doublure.

Les manches ont été doublées en gris à petits points qui était la doublure du projet initial.

Et la nouvelle étiquette :-)